Éducation

Enfants et adolescents

« Tout le monde est un génie. Mais si vous jugez un poisson sur ses capacités à grimper à un arbre, il passera sa vie à croire qu’il est stupide. »

Albert Einstein

La Pleine conscience est désormais reconnue comme particulièrement précieuse en matière de confiance en soi, d’amélioration de l’attention, de la créativité, et de développement des comportements empathiques.

Pratiquer une courte séance de méditation de pleine conscience permet au cerveau de baisser en pression. Les comportements impulsifs ont tendance à diminuer, la régulation émotionnelle est facilitée, faisant place à plus de paix, au sein de chaque élève et donc au sein de la classe.

En instaurant un moment de calme, notre tendance à réagir de manière impulsive aux sollicitations extérieures diminue, les ruminations mentales souvent anxiogènes sont moins présentes, et l’ouverture à l’égard d’autrui et de l’environnement s’élargit, avec moins de jugements vis-à-vis de soi et des autres, et plus d’auto-compassion et d’empathie.

Développer une plus grande acceptation et bienveillance envers soi et les autres amène rapidement à une ambiance plus apaisée au sein de la classe.
Elèves comme enseignants en ressentent les bienfaits au quotidien.

Des bienfaits qui se diffusent à la maison par ricochet, pour le plus grand bonheur de leurs proches.

La santé est définie par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) comme un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité.

Une étude réalisée avant COVID indiquait en 2019 que seulement 63% des étudiants s’estimaient en bonne santé. Neuf étudiants sur dix se déclaraient victimes de stress, selon l’enquête de santé annuelle de la SMEREP, mutuelle chargée de la gestion du régime de sécurité sociale étudiant, menée avec OpinionWay.

Ces étudiants indiquaient être stressés « au moins une fois dans l’année », un quart se disait stressé en permanence et 60 % déclaraient s’être déjà sentis « débordés, voire submergés par leur quotidien ». Plus inquiétant, 22 % avaient déjà eu des pensées suicidaires (27 % chez les jeunes femmes).

Les causes de ce stress sont multiples : les périodes d’examens (94 % des répondants, dont 50 % de façon permanente), les études en elles-mêmes (82 %, dont 27 % de façon permanente) ou l’orientation (71 %, dont 25 % de façon permanente).

Les smartphones ont une incidence indéniable sur cette sensation de stress perçue : dans leur impact sur la capacité de concentration et la qualité du sommeil. 39 % des étudiants reconnaissaient être en situation d’alerte constante pour cette raison.

Étudiants

Les étudiants sont de plus en plus confrontés au stress et leur santé en est durement affectée.

Face à ce constat, l’acquisition de compétences psycho-sociales semble cruciale.

Selon l’OMS, les compétences psychosociales sont « la capacité d’une personne à faire face efficacement aux exigences et aux défis de la vie quotidienne, à maintenir un état de bien-être psychique et à le démontrer par un comportement adapté et positif lors d’interactions avec les autres, sa culture et son environnement ».

Elles se traduisent par des capacités cognitives (ex : avoir conscience de soi), émotionnelles (ex : gestion du stress) et sociales (ex : développer des relations constructives).

De l’étudiant à l’enseignant

De nombreuses études indiquent désormais des effets bénéfiques des interventions basées sur la Pleine conscience, sur la santé mentale des jeunes en matière de réduction du stress, de l’anxiété, des symptômes dépressifs et de l’épuisement professionnel des enseignants.

Une telle efficacité s’explique notamment par leur rôle dans l’amélioration des compétences de régulation des émotions.

Ajoutons que ces pratiques ont des effets bénéfiques sur les performances cognitives et les processus mentaux mobilisés pour orienter les comportements, les pensées et les émotions (les fonctions dites « exécutives ») chez les jeunes comme chez les adultes.

Elles améliorent notamment la mémoire de travail, une fonction clé des apprentissages.

Ainsi, les pratiques de pleine conscience peuvent représenter un intérêt dans le champ de l’éducation majeur dans le milieu scolaire et dans l’enseignement supérieur.

Mes interventions

Elles se déclinent auprès de différents publics

  • Etablissements scolaires et d’enseignement supérieur publics ou privés
  • Associations, confédérations, fondations..
  • Réseaux partenaires, structures ad-hoc..

 

Je collabore avec vous en autonomie ou en complémentarité au sein d’équipes pluridisciplinaires dédiées .

Je contribue et suis force de proposition dans la mise en œuvre de vos plans d’actions, en vous proposant des accompagnements sur mesure.

Les formats

J’interviens :

  • sous forme d’ateliers, formations, conférences..
  • par des modules d’animation ou des temps pédagogiques dédiés,
  • ou sous forme d’accompagnements individuels.